gouvrant-le-peintre

 

 

 

 

 

 

Car un Gérard Gouvrant peut en cacher un autre. Certaines de ses toiles frisent une abstraction dans laquelle les arbres ne sont que des repères graphiques au coeur d’un dépouillement apaisé. 

 

 Chez Gouvrant l’humour sauve tout. Et si dans la vie le véritable humour est rare, il est encore plus exceptionnel en peinture. Car il y faut la sûreté du trait. De cette ligne qui sort de la main comme si elle s’échappait d’années et d’années de travail pour tracer une figure comme une première fois.

 

 

 

 

 

 

 

Naissance le 4 novembre 1946 à Paris près du Panthéon...

1972  Je me déclare officiellement artiste-peintre.

 

1990 Réalisation d’une fresque pour l’IUT (Institut Universitaire de Technologie) de Roubaix (4 x 3 m) en association avec le groupe d’étudiants Patchwork.

 

1991 – 15 septembre : ‘La folle histoire d’Albert qui abandonna le violon pour les allumettes’.

Fresque de 13 m de long sur 2,50 m de haut, en 100 tableaux de 65 x 50 cm chacun. Présentation unique au Palais des Congrès à Paris. La moitié des toiles étant achetées par avance sur catalogue, et la plupart des toiles restantes le seront le jour de l’exposition.

 

1995 Salon du Livre de Limoges,  je présentais avec mon ami Dominique Lacout, un livre illustré de mes dessins : « Le Bêtisier sous François Mitterand  » aux Editions du Rocher. 

1996. Nous proposons le tome 2, "Le bêtisier des Présidentiables » toujours aux Editions du Rocher

 

 

 

 

 

               

                                              

 

                                                               

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer